Enquête sur les pratiques de l’ancien patron des «stups»: deux magistrates en garde à vue

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Enquête sur les pratiques de l’ancien patron des «stups»: deux magistrates en garde à vue

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Le responsable de l'Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants (OCRTIS), Francois Thierry, s'adresse à la presse suite à la saisie de sept tonnes de cannabis à un péage d'autoroute d'Ile-de-France, le 18 mars 2011 à Nanterre. AFP PHOTO PIERRE VERDY / AFP PHOTO / PIERRE VERDY

Le responsable de l’Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants (OCRTIS), Francois Thierry, s’adresse à la presse suite à la saisie de sept tonnes de cannabis à un péage d’autoroute d’Ile-de-France, le 18 mars 2011 à Nanterre. AFP PHOTO PIERRE VERDY / AFP PHOTO / PIERRE VERDY

VIDÉO – Deux magistrates de haut rang ont été placées en garde à vue mardi par l’IGPN dans le cadre d’une enquête instruite à Lyon sur les pratiques controversées de la lutte anti-stupéfiants sous le commissaire François Thierry.

Mardi, l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) a placé en garde à vue deux magistrates haut placées: Véronique Degermann, procureur adjointe au parquet de Paris, et Karine Roussy-Sabourin, ancienne procureur à la juridiction interrégionale spécialisée de Paris et aujourd’hui en poste à la cour d’appel d’Aix-en-Provence. Véronique Degermann était toujours entendue ce mercredi matin, tandis que Karine Roussy-Sabourin est sortie de garde à vue en fin de journée. Ces gardes à vue seraient une nouvelle conséquence de l’affaire François Thierry, du nom de l’ancien patron de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis).

Selon Le Parisien , les deux femmes sont entendues pour des faits remontant à 2012. Les juges lyonnais en charge de l’enquête veulent comprendre les conditions dans lesquelles un indicateur, Sophiane Hambli, avait été temporairement extrait de prison, en avril 2012, dans le cadre d’une vraie-fausse garde à vue. Depuis un hôtel de Nanterre, les enquêteurs avaient autorisé l’indic à appeler des producteurs de drogue au Maroc, espérant faire tomber les réseaux de revente en suivant les chargements de marchandise.

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