AFFAIRE COLLORIG / GUEDON: La DGGN contrainte de répondre sous la pression de la CADA.

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AFFAIRE COLLORIG / GUEDON:

La DGGN contrainte de répondre sous la pression de la CADA.

Collorig

L’adjudant-chef Gérard GUEDON soutenu par l’AFAR et Armée média, s’est officiellement déclaré victime auprès de son administration, de harcèlement moral hiérarchique au travail et de violences psychologiques. Une plainte avec constitution de partie civile contre …X… a été déposée à cet effet, le 16 décembre 2019 devant le doyen des juges d’instruction de Paris. (Lire nos précédents articles)

Dans le respect de la présomption d’innocence, Armée média offre la possibilité d’un droit de réponse à toute personne qui s’estimérait lésée et en droit de le faire. Compte tenu des nombreux articles publiés dans cette affaire, nous n’avons jamais été sollicités dans ce domaine ce qui est bien dommage.

Malgré son état de santé fragilisé, ce sous-officier faisant preuve d’opiniâtreté et d’une volonté de fer a sollicité à son administration (Direction Générale de la Gendarmerie Nationale (DGGN)) la communication de documents administratifs.

  • Récapitulatif de ses demandes et des courriers échangés:

Première demande: 18 octobre 2018

Relance: 18 février 2019

Première réponse de la DGGN: 21 février 2019 ( Lire notre article intitulé: «Production en justice des rapports de l’IGGN par le colonel Laurent COLLORIG: la réponse embarrassante de la DGGN».

Demande complémentaire en réponse à la lettre de la DGGN : 2 mars 2019

Nouvelle demande: 21 mars 2019

Relance: 4 mai 2019

Saisine CADA (Commission d’Accès aux Documents Administratifs): 15 juin 2019

Nouvelle relance: 16 octobre 2019

Pour une administration censée veiller au respect et à l’exécution des lois, c’est un comble!

Contraint par la CADA (Commission d’Accès aux Documents Administratifs), le colonel GILLES Isabelle, chef du Bureau des Recours et de la Protection fonctionnelle répond le 17 janvier 2020 à l’adjudant-chef GUEDON. La première exploitation des documents communiqués est une mine d’or pour ce sous-officier qui va pouvoir les utiliser à bon escient dans ses diverses actions en justice.

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C’est ainsi que la DGGN confirme une nouvelle fois que le colonel Laurent COLLORIG à produit en justice deux rapports d’enquête administrative de l’IGGN en violation de la loi et contrairement aux dispositions du Code des relations entre le public et l’administration actualisant la loi N°78-753 du 17 juillet 1978.

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  • Ci-dessous, la reproduction de la première lettre de la DGGN visée en Pièce 26.

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L’origine de la production de ces deux rapports d’enquête administrative devant les juridictions civiles par cet officier supérieur de gendarmerie est un élément auquel il devra répondre en temps opportun, s’agissant d’un moyen de droit déloyal pour tromper la religion des juges et instrumentaliser la justice sauf à démontrer le contraire.

Par ailleurs, l’examen de certains documents communiqués permet de caractériser l’animosité de cet officier supérieur de gendarmerie dès 2015. En effet, ceci est révélé par un courriel daté du 11 juillet 2015 à 00 heure 27 qu’il a lui même adressé à des membres de la chaîne de concertation (représentants du personnel en interne) et produit auprès des enquêteurs de l’IGGN (Inspection Générale de la Gendarmerie Nationale) le 8 septembre 2017 soit plus deux années après. Le colonel COLLORIG certainement pris d’insomnie a répondu sur un ton singulier…

Les documents produits à cet effet par le colonel COLLORIG sont relatifs à des archives personnelles sauf à démontrer le contraire ce qui laisse supposer qu’il existe un fichier contenant des données personnelles de l’adjudant-chef GUEDON autre que son dossier personnel administratif. Là encore, des éclaircissements s’avèrent nécessaires sur ce point, ce que le colonel COLLORIG, professeur de droit pénal ne manquera certainement pas d’apporter en temps opportun. Dans ce courriel, cet officier supérieur de gendarmerie affirme en parlant de Gérard GUEDON: « Si il croit me nuire il va en être pour ses frais sans compter ma possibilité de porter plainte en diffamation.»

Cette menace était certainement prémonitoire de ses actions futures qui l’ont notamment améné fin 2017 à plusiseurs assignations au civil en référé puis sur le fond ayant abouti à deux condamnations du colonel COLLORIG sur ses propres désistements à chaque fois.

  • Lire nos précédents articles intitulés:

AFAR: 1 – Colonel Laurent COLLORIG: 0. Voilà ce qui arrive quand on attaque l’AFAR pour diffamation, une condamnation pour l’initiateur de la procédure.

AFAR: 2 – Colonel Laurent COLLORIG: 0. Voilà ce qui arrive quand on attaque l’AFAR pour la seconde fois consécutive après une première action en référé pour diffamation, une seconde condamnation pour l’initiateur de la procédure.

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Un autre courriel daté du 7 juillet 2017 à 18 heures 14, lui ayant été adressé par Madame Sabine KHERIS, Doyen des juges d’instruction près le TGI de PARIS, produit devant l’IGGN par ce même colonel COLLORIG apporte un éclairage nouveau sur ses liens avec ce magistrat et sur ses capacités de commandement en matière de gestion de ressources humaines.

Ce haut magistrat lui donne une sévère leçon en matière de relation humaine dont aurait du s’inspirer cet officier supérieur de gendarmerie qui en est manifestement dépourvu. Lisez et savourez, c’est exquis!

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  • Pour lire la lettre de Madame Sabine KHERIS du 5 juillet 2017, cliquer sur le lien ci-dessous:

Lettre-Mme-KHERIS-en-date-du-5-juillet-2017-au-DGGN

  • Lire aussi notre article intitulé:

PLAINTE POUR DIFFAMATION DU DGGN: RÉVÉLATIONS : JOUR «J+23» Sous dossier: « Gerard GUEDON » Le DGGN saisi par courrier le 5 juillet 2017 par Madame Sabine KHERIS, Vice-présidente chargée de l’instruction, doyen des juges d’instruction près le TGI PARIS

Il est indéniable que le colonel COLLORIG est beaucoup plus loquace devant les enquêteurs de l’IGGN que devant la justice où il n’a produit aucun de ces documents.

Une réponse pour AFFAIRE COLLORIG / GUEDON: La DGGN contrainte de répondre sous la pression de la CADA.

  1. Ce Colonel est d’une médiocrité sans nom et d’une nullité extrême dans la rédaction de ces correspondances militaires. Comment peut-on écrire de la sorte ? Je l’analyse à titre personnel comme des menaces et du chantage. C’est très grave ! Visiblement il est dans la toute puissance et ne supporte même pas que son subordonné puisse légitimement et légalement usé de son droit à se défendre face aux calomnies. Cela en dit long sur le calvaire vécu par l’adjudant chef GUEDON. Quand au message de cette dame Juge d’Instruction, quel leçon d’humilité et de management. Assurément une grande dame, humaine et aux grandes qualités relationnelles.

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